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Il y a plus de trois quarts de siècle, en 1921, Théodore Monod entrait au Muséum national d’Histoire naturelle, une institution qui allait devenir pour lui la "maison mère" et où il continue à l’âge de 95 ans de se rendre encore chaque jour. Nul mieux que Théodore Monod n’a su illustrer au XXe siècle l’une des vocations scientifiques initiée par les plus célèbres savants du Jardin du Roy, celle de naturaliste voyageur. Dans toutes les disciplines scientifiques auxquelles il a apporté sa contribution, Théodore Monod l’a fait avec autant de rigueur et d’exigence qu’en est capable un homme dont la vie entière a été vouée à la science. L’Afrique, avec en particulier le désert du Sahara, est très vile devenue son terrain de prédilection. La création de l’IFAN (Institut Français d’Afrique Noire, devenu en 1965 Institut Fondamental d’Afrique Noire) qu’il dirigea pendant plus de 25 ans lui a permis de développer, à l’image du Muséum national d’Histoire naturelle, une institution dédiée au continent africain. À travers son œuvre de naturaliste, Théodore Monod a su conserver l’intérêt scientifique, mais aussi le respect et l’amour que lui ont dès son plus jeune âge inspiré toutes les formes de vie, jusqu’à ses plus modestes représentants. Cet ouvrage rassemble une série d’articles au cours desquels ses collègues et amis rendent compte de sa contribution scientifique dans des domaines aussi variés que la géologie, la botanique, la zoologie, la paléontologie, la préhistoire ou l’histoire. Il complète ainsi le portrait de l’humaniste bien connu du grand public par un hommage à l’homme de science.
naturalisme --- ichtyologie --- Sahara --- foi
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Aujourd'hui, comme dans le passé, Jésus de Nazareth suscite l'admiration et l'attachement de beaucoup d'hommes, et inspire leur vie et leur action. Cependant, dans le même temps, beaucoup de chrétiens s'interrogent sur le sens de leur foi en lui, telle qu'elle s'exprime dans le Nouveau Testament et dans les grands conciles christologiques. Autour de la confession de foi « Jésus Christ, Fils de Dieu », cinq croyants (parmi lesquels un exégète, un psychologue de la religion, un philosophe, un théologien) proposent leur réflexion en vue de contribuer à cette réappropriation, pour notre temps, de la christologie, que la foi et le monde attendent et que la théologie, au premier chef, avec les sciences humaines, a pour mission d'assurer comme un apport provisoire au travail séculaire et toujours inachevé de l'intelligence de la foi.
foi --- théologie --- religion --- christianisme
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Hubert Guillotel a soutenu, en 1973, une thèse d’histoire du droit intitulée Les Actes des ducs de Bretagne (944-1148). L’édition critique de ces cent soixante-et-onze documents se voulait une enquête sur le pouvoir ducal en Bretagne aux Xe-XIIesiècles. Ce travail monumental posait les fondements des recherches qu’il poursuivrait, avec passion, jusqu’à sa disparition en 2004. Loin d’être enfermée dans d’obscurs particularismes, il voyait la Bretagne s’ouvrant, sans retard, aux réalités et innovations que connaissait alors l’Europe. Il démontra la survivance de l’ordre carolingien dans les institutions bretonnes et sut comprendre que l’histoire de l’Église devait être aussi une histoire des pouvoirs et de la société. À la tête de celle-ci, la noblesse, initialement au service du titulaire de la puissance publique, entendait affermir son autorité propre. Foi due à Dieu, foi jurée au prince ou promise à son seigneur : la foi était l’un des fondements de cette société à laquelle Hubert Guillotel s’est attaché à rendre vie. Dès lors les mots de pouvoir et de foi ne pouvaient qu’être associés aux contributions qui lui sont ici offertes par ses collègues, disciples et amis. Service du Prince et encadrement des hommes et des âmes étant intimement liés, deux axes majeurs se dégagent. Le premier voit se définir comment se fonda le pouvoir sur les âmes. Juger, gouverner, combattre, tels sont ensuite les trois thèmes abordés pour appréhender le pouvoir sur les hommes. H. Guillotel a toujours tenu à étayer sa réflexion par l’archéologie, l’onomastique, la toponymie ou la linguistique. Elles trouvent donc ici la place qui leur revient. Enfin, il savait toute l’importance d’une ouverture à des espaces géographiques différents, permettant de déterminer spécificités ou ressemblances.
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Le « retour de Satan », observable aujourd'hui en des manifestations fort diverses, pourrait bien renvoyer à la redécouverte, bruyante ou quotidienne, à la suite d'évènements terrifiants ou d'une déréliction sans remède au plan de l'histoire d'un « abîme noir » en l'humain. Redécouverte qui se laisse appréhender comme un double brouillage d'identité : l'image de Dieu oscille entre un versant positif et un versant négatif et l'humain s'en trouve comme traversé d'une fêlure, voire dédoublé. Si la foi toute chrétienne tient, tout entière, à la reconnaissance d'un salut gratuitement donné dans l'Événement christique insondable comme tel, comment fait-elle droit à la dimension d'épreuve, de combat, mais aussi à l'impératif de solidarité sans lesquelles la réalité et l'annonce du salut seraient privées de signification et de résonance ? Tels sont la question et l'enjeu de la session théologique, tenue aux F.U.SL. en 1991. Le parcours proposé comporte deux étapes : des mises en situation historiques - restitution de synthèses doctrinales et de glissements historiographiques - et anthropologiques font écho et interrogent des apports exégétiques, éthiques et théologiques visant à préciser ce qui nous est suggéré, à travers les figures du démoniaque, de ce qu'il peut advenir de la liberté humaine lorsqu'elle se retourne vers « Celui qui a, par la Croix, vaincu le Prince de Monde ».
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Selon certaines opinions, l'intelligence de la foi chrétienne traverserait aujourd'hui une sorte d'exil, de nature à la rendre étrange, voire étrangère, au regard des évolutions de la société et de la culture. C'est ce qui permettrait de comprendre tantôt la tentation de « repli » sur la spiritualité, tantôt le confinement de la pensée chrétienne dans les sphères spécialisées des institutions vouées à la recherche et aux publications scientifiques, ne touchant qu'un public des plus restreints. D'autres estiment au contraire qu'aujourd'hui plus que jamais, l'intelligence de la foi – en philosophie comme en théologie – se doit de relever les défis qui se présentent à elle dans le champ des pratiques sociales. L'articulation entre la foi et la raison resterait bancale sans « raison pratique » efficace, laquelle rend compte du logos de la foi, entendue intelligemment dans la vie sociale, et non à l'écart des réalités et des changements, des passions et des souffrances qui s'y manifestent. Dans une société souvent perçue aujourd'hui comme fragmentée, conflictuelle, voire menaçante, quelles sont les ressources que les « métiers » de théologien (ne) et de philosophe offrent à l'alliance dans la foi chrétienne de son intelligence et de sa pratique ?
repli spirituel --- théologie --- foi --- raison --- engagement social
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Le discrédit jeté sur les institutions devient aujourd’hui une nouvelle idéologie qui oublie de se soumettre elle-même à la critique. C’est le cas aussi pour l'institution ecclésiale, qui est durement contestée par beaucoup de ses membres. Ne convient-il pas, sans rien oublier, bien au contraire, des acquis récents de l’ecclésiologie et de la pratique ecclésiale, de repenser le fondement théologique de l’Église comme institution? Un historien, un évêque, un sociologue, un exégète, un ecclésiologue, un théologien tentent d’éclairer, chacun de leur point de vue, ce problème difficile mais essentiel pour l'Église d’aujourd'hui. Ce volume résulte d’une session théologique, tenue en 1978 à l'École des sciences philosophiques et religieuses des Facultés universitaires Saint-Louis.
église --- institution ecclésiale --- théologie --- foi --- religion --- christianisme
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Ce livre s'interroge sur ce qui fonde toute affirmation de foi et toute théologie : la révélation. Sans elle, foi et théologie ne sont qu'idéologies. En elle réside la résistance ultime à toute assimilation, à toute réduction de la foi à un sens simplement humain. Elle exprime la transcendance radicale de la foi par rapport à tout savoir, tout désir, tout effort qui ne seraient que de l'homme Mais comment faut-il comprendre aujourd'hui cette transcendance, cette altérité irréductible, si l’on veut entendre aussi jusqu'au bout les justes exigences de la raison, de l'entreprise herméneutique, de la démythisation ? Telle est la question que tente d'éclairer ici une réflexion à la fois pluridisciplinaire et pluriconfessionnelle qui comporte cinq faces sans compter l'échange final : philosophie, pensée juive, exégèse du Nouveau Testament, tradition de l'Inde, théologie. L’ensemble résulte d'une session théologique organisée en 1976 par l'Ecole des sciences philosophiques et religieuses des Facultés universitaires Saint-Louis à Bruxelles.
révélation --- théologie --- foi --- transcendance --- altérité --- exigence --- herméneutique
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Une des tâches les plus urgentes pour les chrétiens soucieux d'offrir à leur foi l'hommage d'une pensée qui en respecte le mystère et la spécificité consiste à en assumer, de manière renouvelée, la détermination centrale qui la qualifie comme monothéisme trinitaire. De la foi chrétienne, le mystère de la Trinité exprime l'audace conjointe quant à la vérité de Dieu et quant à la vérité de l'homme. Il en commande aussi les équilibres les plus délicats. L'urgence naît d'un double défi : celui qui vient du dialogue avec les grandes religions et de l'attrait grandissant des sagesses hénologiques et des (ré)enchantements polythéistes ; celui qui vient des évaluations critiques du rôle joué par le christianisme dans le champ de l'imaginaire et des institutions politiques en Occident. Le présent volume reprend les contributions de la session théologique organisée en 1990 aux Facultés universitaires Saint-Louis, dans le cadre de l'École des sciences philosophiques et religieuses. L'ensemble, composé d'approches multiples et de perspectives novatrices, se veut une contribution à ce travail. On pourra y mesurer l'avancée et l'approfondissement de la perspective pneumatologique déjà opérante dans plusieurs sessions précédentes publiées dans la même collection.
religion --- monothéisme --- religion chrétienne --- foi --- christianisme --- Dieu --- Trinité
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Le constat n'étonnera personne : les faits, les manifestations ou les phénomènes religieux attirent aujourd'hui l'attention, à des degrés divers. Face à la question de savoir ce que les religions viennent faire dans la société et la culture, on dispose d'un large éventail d'analyses et de réponses. Toutefois, en centrant ainsi l'intérêt sur ce que les religions font, une autre question est souvent laissée dans l'ombre : celle de savoir ce qui fait la religion, ou encore Qu'est-ce que la religion ? Les contributions rassemblées dans ce recueil n'entendent pas traiter la question de manière abstraite, ni trancher l'épineux problème d'une définition théorique de la religion. Il s'agit plutôt de prêter attention à ce que la religion donne à entendre, quand on l'interroge sur ce qui la fonde et la constitue, dans le champ de la conscience et de la pensée humaines, dans celui des rapports sociaux, et face aux pôles de sens et de vérité qui aimantent les traditions religieuses et leurs divers itinéraires. La théologie chrétienne se doit aujourd'hui de reprendre ce questionnement, pour envisager comment le christianisme se comprend lui-même comme religion, en ayant dépassé l'opposition duelle entre foi et religion. L'interlocution avec d'autres religions se tient certainement au cœur de cette tâche. Mais en même temps, ce questionnement appelle aujourd'hui le christianisme à revoir ses propres bases anthropologiques, où ce qui fait la religion prend naissance.
religion --- définition --- théologie --- christianisme --- foi --- judaïsme --- bouddhisme --- théologie chrétienne
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L'importance du monde arabe dans la politique internationale, la présence d'immigrés musulmans dans nos pays et le réveil de l'Islam provoquent notre réflexion. Au-delà des stéréotypes et des craintes, il faut aller au cœur même de la foi de l'Islam : le Coran, la loi, la Tradition, la mystique. On peut ainsi redécouvrir des sources communes, que souligne la comparaison entre la Bible, la Torah et le Coran, et des convergences profondes, tout en reconnaissant les différences entre chrétiens et musulmans. Cet essai de compréhension de la religion musulmane dans sa cohérence interne permet de mieux situer le regard que le musulman et le chrétien portent l'un sur l'autre. La confrontation de l'Islam actuel avec sa tradition pose enfin des questions aux croyants des différentes religions révélées. C'est à une réflexion en profondeur qu'invitent ces leçons de la session théologique organisée en 1984, par l'abbé D. Coppieters de Gibson, peu avant son décès, dans le cadre de l'École des sciences philosophiques et religieuses des Facultés universitaires Saint- Louis à Bruxelles.
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